A : La qualité de ce lot de marchandises est si bonne, et le prix est également avantageux, pourquoi y a-t-il si peu d'enquêtes... Est-ce que la description de mon produit n'est pas bien écrite ?
B : Le problème ne se trouve peut-être pas dans le produit, mais dans le fait que vous avez "posé la question à la mauvaise personne".
A : Hein ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
B : Regardez, notre veste en duvet épais, vous la promouvez principalement sur le marché de l'Asie du Sud-Est.
A : Oui, c'est vrai, là-bas la population est nombreuse, le commerce en ligne se développe rapidement, le potentiel n'est-il pas énorme ?
B : Le potentiel est grand, mais il faut regarder la demande. En Asie du Sud-Est, il fait souvent 30 degrés, vous promouvez une veste en duvet ? Mais si vous changez d'endroit — comme l'Europe du Nord, le Canada, ces régions où l'hiver est long ?
A : Ah oui ! Je pensais seulement à "où il y a le plus de monde", j'ai oublié "où il y a un besoin" !
B : Exact. Faire du commerce extérieur, c'est comme tomber amoureux, ce n'est pas "je suis le meilleur", mais "je suis le plus adapté pour toi". Analysez clairement : le climat, les habitudes de consommation, les politiques d'importation, même les croyances religieuses... tout est crucial.
A : Donc la première étape n'est pas de se précipiter pour publier des publicités, mais de d'abord trouver "les bonnes personnes" !
B : Intelligent. Choisir la bonne région d'exportation, c'est faire moitié moins d'efforts pour un résultat double. Rappelez-vous, là où il n'y a pas de besoin, même l'or sera considéré comme une pierre.
A : Je comprends ! Je vais immédiatement réanalyser le marché !
B : Pour le commerce extérieur, la direction est plus importante que les efforts. Les patrons intéressés peuvent laisser un message dans la section des commentaires, je peux vous aider.
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